[CANNES 2017] Day 02 : “Il faut soutenir les premiers longs-métrages c’est important”

Une journée plus calme pour ce vendredi 19 mai, date d’anniversaire de ma soeur au passage mais vous n’en avez strictement rien à foutre j’en suis certaine. Au programme deux films, Rihanna qui m’est passée devant le nez et le retour d’insultes qui n’étaient plus utilisées depuis le Roi Arthur. Allez, suivez le guide.

La météo n’était pas de notre côté ce matin alors j’ai dû malheureusement dire adieu à mon petit footing matinal et le remplacer par une heure en plus de sommeil, ce qui n’était peut-être pas plus mal au final. Evidemment retour à l’espace Cannes Cinéphile pour récupérer quelques petites invitations. Malheureusement pas de Okja ni de Jupiter’s Moon en vue alors à place j’ai opté pour la version restaurée et entière de Yol, primé à Cannes en 1982 ainsi qu’une séance spéciale de They, premier long-métrage d’Anahita Ghazvinizadeh.

Tandis que mes compatriotes sont partis sont partis voir d’autres films, j’en ai profité pour boire un café avec une certaine personne chevelue dénommée Christophe Carrière qui n’a pas hésité à me traiter de crétine et d’abruti. Et oui maintenant vous le savez, en 2017 il y a encore de vieilles personnes qui utilisent ces insultes. Soyez donc outrés avec moi. Au passage je me rends compte que moi et les visages ça fait deux puisque j’ai cru voir Rihanna passer devant moi. Etait-ce elle ou pas ? En tout cas j’ai peut-être raté une occasion de prendre un selfie avec elle, dommage.

On referme la parenthèse café pour en revenir à l’essentiel : le cinéma (bah oui c’est le Festival de Cannes quand même). Rendez-vous Salle Buñel au cinquième étage du Palais des Festivals pour Cannes Classic. Une sélection de très haute qualité des meilleurs films qui ont défilé au Festival depuis 70 ans. L’occasion de découvrir ou re-découvrir des chefs-d’oeuvres comme ce fût le cas avec Yol.

Et comme évidemment le cinéma bah ça fatigue un peu, c’est avec un grand plaisir qu’on s’octroie une petite pause bien méritée au bord de la mer, parmi les rochers, se lorgnant par la même occasion des yachts de luxe qui nous nargue mais nous on s’en fout, on s’est pris une glace italienne vanille-nutella et ça c’est la classe. On récupère au passage un sac “Cannes 70” et un joli petit carnet qui ne sera pas de trop sur mon énorme pile de cahiers vierges puis direction la Salle du Soixantième pour They, un premier long-métrage qui a fait salle comble et ça fait plaisir parce que oui il est important de soutenir un premier long-métrage et qu’à choisir entre voir un film en compétition officielle au Grand Théâtre Lumière et un premier long-métrage je choisis la seconde option sans hésiter, enfin peut-être que cette fois j’aurais dû mais vous le comprendrez bien assez tôt en ayant lu ma critique.

En somme une journée plutôt assez calme mais préparez-vous parce que demain soir sur le Cinéma de la plage, La Fièvre du samedi soir est projeté alors autant vous dire que ça va danser sévère sur la plage ! Allez on se dit à demain !

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