On revient ! Avec un peu de retard certes mais la machine Désolé j’ai ciné est bien en route. Après un retour en grande pompe avec une nouvelle formule dans laquelle nous explorions plusieurs angles d’analyses sur un thème principal, nous continuions sur notre belle lancée en vous proposant votre numéro estival !
Qui dit été dit soleil, peaux bronzées, vacances et indéniablement, la mer : l’eau bleue azur dans laquelle nous trépignons d’impatience de plonger. Pour ce numéro nous avons décidé de nous consacrer à l’eau sous toutes ses formes, parce qu’elle est une composante essentielle de nos vies et un élément important dans la narration de certains films. Embarquez pour une croisière de luxe en compagnie de nos rédacteur·ice·s : voguons sur les mers, plongeons dans Moonlight de Barry Jenkins pour en saisir toutes les subtilités, faisons nous peur dans le brouillard et dans l’eau en compagnie de créatures étranges sans oublier que l’eau est une denrée nécessaire de plus en plus rare .
Bonne navigation et bonne lecture !
[…] dans ce voyage initiatique. L’eau comme danger (on vous en parlait dans le dernier numéro de Désolé j’ai ciné) mais aussi comme vecteur d’émotions, de deuil, de rêve et de dépassement de soi. […]